Les offres de reprise d’entreprise se font plus rares que le nombre de repreneurs. Dans une situation aussi complexe, les candidats à la reprise doivent être réactifs puisqu’en « surnombre » par rapport aux offres du marché. Ils doivent capter l’attention des cédants en les rassurant et en évitant de leur parler dès le départ « des choses qui fâchent ».
Parmi les milliers de candidats, la majorité des repreneurs a une idée assez floue de leur projet pendant que d’autres, en nombre plus restreint ont un projet clairement défini. Pour les premiers, la première étape consiste donc à cibler le secteur d’activité, rétrécir leur champ géographique de recherche jusqu’à trouver l’affaire qui leur correspond.
Le dirigeant qui a décidé de céder son entreprise va convoquer en moyenne une dizaine de candidats à la reprise d’entreprise . Les critères de sélection seront bien différents d’un individu à l’autre et le moindre élément, aussi subtil qu’il puisse être, pourra faire peser la balance en faveur de l’acquéreur .
Il est recommandé de « garder deux ou trois entreprises simultanément en ligne de mire. Autrement dit, avoir plusieurs fers au feu, comme le conseille Jacques Raymond, vice-président de l’association nationale des Cédants et repreneurs d’affaires (CRA), qui estime que le premier rendez-vous entre les deux interlocuteurs est primordial pour le bon déroulement de la future transaction : « Paradoxalement, c’est le vendeur qui choisit son acheteur . Ce dernier doit donc le séduire, s’intéresser à son affaire et lui montrer qu’il est là pour la développer. »… (Source octobre 2007, Dossier « Ne parlez jamais d’argent au premier entretien» sur http://www.reprise-entreprise.fr)
Pour en savoir plus sur « comment préparer son argumentaire de reprise », lisez la suite du dossier http://www.reprise-entreprise.fr/ne-parlez-jamais-d-argent-au-premier-entretien-a19.html . Vous pourrez également avoir une vision globale du marché de la reprise d’entreprise en vous inscrivant gratuitement sur le site et en consultant les offres de reprise en ligne.
Contact Presse : Mickaël Esnault