Il est opulent, fortement motivé par l’envie de vous succéder, doté d’un esprit d’entreprise à toute épreuve… Le repreneur idéal n’existe pas, mais cela vaut la peine de le chercher. Quelques principes simples en guise de boussole.
Transmission d’entreprise : trouver le repreneur idéal
Tous les jours, la presse se fait l’écho de repreneurs d’entreprises, généralement les plus importantes, uniquement guidés par l’appât du gain et dont la principale préoccupation est de « rendre l’entreprise plus productive et plus compétitive sur le marché mondial ». Dans les petites et moyennes entreprises, la démarche est toute autre. Une enquête de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris montrait qu’en 2003, 60% des repreneurs étaient étrangers à l’entreprise. Un chiffre toujours d’actualité à ce jour.
Mais l’acquéreur idéal se cache peut-être… au sein de l’entreprise même ! En effet, certains tendent à penser que les salariés seraient de parfaits relais des dirigeants en place. Ils mettent en avant leur « maîtrise de leur métier et la connaissance », des clients et e l’environnement de l’entreprise ; et l’effet de promotion interne que suscite une telle démarche. Maintenant, tous les salariés ne sont pas prêts à reprendre le flambeau. Et lorsqu’un cédant doit trouver son repreneur idéal, il doit mettre en adéquation le profil de son « entreprise » et celui du futur chef d’entreprise amené à lui succéder. Certains sites tels que www.transmission-entreprise.fr, vous permettent une fois ce profil défini, de consulter gratuitement les annonces de repreneurs potentiels.
Il paraît évident que dans une TPE du bâtiment, la connaissance du métier est un atout indéniable. Cependant, dans une PME de taille respectable, le dirigeant peut se transformer en véritable chef d’orchestre sans forcément jouer de tous les instruments. Autrement dit, à chaque cas sa solution propre. Un conseil essentiel: parler avec le repreneur potentiel et apprendre à le connaître avant de lui donner les clés de la maison. Une présentation papier, type CV, est parfois trompeuse…
Contact Presse : Mickaël Esnault